mercredi 24 novembre 2010

BLOGUEUSE DE MODE: UNE ÉTAPE À LA FOIS!

La mode, j’adore ça. Je crois même l’avoir indiqué dans certains de mes billets précédents. Je blogue ici depuis quelques mois et j’apprends. Maintenant que je me sens réellement à l’aise, j’ai vraiment le gout de plonger, de faire ce que j’ai toujous voulu faire mais n’avais pas vraiment osé avant: faire un blogue de mode.

Bon, encore un blogue de mode dirons certains.

Bien oui et je l’assume. Je sais que ça peut être difficile, le sujet étant déjà largement exploité. Mais ce n’est pas grave. De toute façon, c’est ce que j’aime, alors pourquoi m’en empêcher?

Je ne dis pas que je ne parlerai jamais d’autres choses. Là n’est pas le point. Je veux simplement en faire la thématique principale de ce blog.

C’est en fouillant un peu sur le Web que je suis tombée sur ce billet plutot absurde mais qui me fait bien rire:How To Become A Star Style Blogger

Est-ce qu’en suivant à la lettre toutes ces étapes, je deviendrai une star des blogues de mode? C’est à suivre!


 
Véronique

samedi 13 novembre 2010

CONCOURS TRANSAT, LA SUITE ET LA FIN...

Bon bien je pense bien que mon chien est mort! Je ne serai, à moins d’un revirement spectaculaire (oui oui!! SVP!!), la vacancière Transat.

N'ayant pas été rappelée le lendemain de mon précédent article, j'ai tout de même voulu croire que je pourrais être rappelée plus tard. Surtout que, en raisons de problèmes techniques sur le site du concours, Vacances Transat ont allongé la période d'inscriptions jusqu'à mercredi dernier.

L’espoir fait vivre...

C'est sur que je suis un peu déçue. Loin d’être assurée que je serais LA personne qui décrocherais l'emploi au final, j'aurais tout de même aimé me rendre plus loin dans le processus de sélection, si ce n'est que pour l'expérience que ça m'aurait amené. Je suis tout de même extrêmement contente d'y avoir participé.

En fait, le seul petit bémol que j’aurais à mentionner, c'est le mode de communication un peu défaillant de Vacances Transat dans le cadre du concours. À mon humble avis, ils n'ont pas su gérer adéquatement leur canal de communication principal, leur page Facebook.

Les problèmes techniques et l'impossibilité d'envoyer les candidatures ont créé beaucoup de confusion et d'insécurité chez les participants. Et cette insécurité, elle s'est rapidement fait sentir sur Facebook, sous forme de commentaires et questions, qui sont restés longtemps sans réponse.
Pour un concours, qui misait beaucoup sur les qualités communicationnelles des participants, je dirais qu'on assiste à un bon cas de cordonnier mal chaussé.

Mais bon, ce matin je suis retournée sur la Fan Page pour avoir le plaisir de découvrir que Transat a repris la situation en mains et semble maintenant répondre à la plupart des questions posées.
Trop peu trop tard? Je ne sais pas.

De mon avis, mieux vaut tard que jamais. Au moins, ils ont réalisé le problème et semblent vouloir y remédier.

Preuve que dans ce genre de concours, tout le monde apprend, à sa façon! ;)

Véronique

lundi 8 novembre 2010

SERAIS-JE LA VACANCIÈRE TRANSAT? À SUIVRE...

C'est officiel! Je suis beaucoup trop excitée pour même penser à dormir ce soir!

Pourquoi?

J'ai récemment envoyé ma candidature au concours Vacancier recherché de Vacances Transat. Et aujourd'hui, j’apprends que j'ai réussi la première étape du processus de sélection et qu'on veut que je fasse une entrevue téléphonique. Une entrevue que je me suis empressée de faire et que j'espère tellement avoir réussie!


De toute façon, je ne devrais pas mourir d'une surdose de stress puisque l'attente ne sera vraiment pas longue pour savoir ce qui en est. Normalement, si je suis sélectionnée pour la prochaine étape, je devrais le savoir dès demain, d'où le surplus d'excitation et l'annonce d'une insomnie assurée!


D'ici là je vous invite tout de même à visionner mon vidéo et à espérer aussi fort que moi que le téléphone sonnera demain!




Je vous tiens au courant!



Véronique

mercredi 3 novembre 2010

LE CANCER, CETTE BIBITTE QUI EFFRAIE MAIS QUI FAIT GRANDIR

Aujourd'hui 3 novembre 2010 est une date spéciale pour moi mais surtout pour une de mes meilleures amies. Pourquoi? Elle termine aujourd'hui sa 5e et dernière année de rémission de son cancer.

À 16 ans, on lui diagnostique un ostéosarcome dans le genou. En d'autres termes, une tumeur, la même qui a eu raison de Terry Fox. Une tumeur maligne, dangereuse, cancéreuse...

Cancer, le mot qui frappe, qui fait mal et qui fait en sorte que notre monde s'effondre.

À cette époque, j'avais 20 ans. À 20 ans, même si on sait que ce n'est pas vrai, on ose croire que le cancer, c'est pour les plus vieux, pour les autres. Pas pour nos amis les plus proches.

Déni, tristesse, désespoir. On ne sait plus comment se sentir mais on ne sait surtout plus quoi dire. Je souffrais mais mon amie, sa famille, ils avaient encore plus mal. Et ils avaient peur.

Le cancer c'est une bibitte qu'on ne connait pas, pleine de mauvaises surprises et d'incompréhension. On veut la dompter mais on ne sait pas comment faire.

Notre façon, à une amie proche et à moi, a été de l'affronter de front. Et d'aider notre amie à en faire autant. Ce n’est pas parce qu’elle était malade qu’on arrêterait de rire avec elle, de lui raconter des histoires absurdes et de prendre les choses à la légère. Il n'était pas question, ni pour elle,ni pour nous, d'arrêter de vivre.

Le cancer, elle allait le battre. On allait l'aider à le faire, à notre façon.

Et c'est ce qu'on a fait, du mieux qu'on a pu.

Aujourd'hui, j'ai reçu un courriel de cette amie qui a vécut le cancer. Elle nous remercie de l'avoir aider à le faire. Son courriel est tellement beau, j'ai pleuré. Au travail. Mais je m'en fous.

Son courriel m'a fait prendre conscience d'une chose. Tout ce temps, je savais que j'avais beaucoup grandit dans cette expérience. Ce que je ne savais pas, c'est à quel point j'avais compté pour elle dans cette épreuve.

On a 4 ans de différence. C'est d'ailleurs une blague constante entre nous. J'ai toujours su que, bien qu'elle soit plus jeune, elle en avait beaucoup à me montrer. Aujourd'hui, je le constate encore plus. Et je lui en suis tellement reconnaissante!

Je réalise qu'il y a 5 ans, j'ai fait une différence à ma manière. Vous pouvez en faire une aussi. Il y a des tas d'organismes qui appuient la recherche contre le cancer. Mais aussi ceux qui contribuent à rendre meilleure la vie des enfants malades. J'ai un faible (et de source sure, je peux dire que mon amie a la même!) pour Opération  Enfants Soleil qui a beaucoup fait pour elle. N'hésitez surtout pas à faire votre part!

Mais je crois que la meilleure façon de terminer, c'est tout simplement de te dire merci Camille. Tu es la personne la plus forte, courageuse et inspirante qu'il m'ait été donné de connaître. Je t'aime.

Véro

mercredi 20 octobre 2010

MA MAISON N'EST PLUS UNE ROULOTTE

Ayoye!!Je réalise ce soir à quel point ça fait longtemps que je n'ai rien écrit. Les 2 dernières semaines ont été tellement intenses que je n'ai pas pu consacrer une seule minute à ce blogue.

Première chose et la plus importante, JE SUIS FINALEMENT DÉMÉNAGÉE!!! Ok, je sais semble excessif mais ceux qui me connaissent comprennent! Pour faire court, j'ai acheté un condo sur plan il y a environ un an et demi avec mon chum. Notre premier vrai achat qui compte vraiment!! Il y a de quoi être excité, tout le monde dit que c'est parmi les plus beaux moments de notre vie, qu'il faut en profiter, que ça va être TELLEMENT l'fun!

Erreur.

On devait initialement emménager le 31 mars dernier. Oui...il y a presque 7 mois... Mais bon c'est retardé, on l'apprend pas trop tard et on a heureusement pas encore sous-loué notre appartement. On se dit que dans le fond, ce n’est pas si pire. Qui aime trainer ses meubles dans la slush et le calcium dehors? Pas moi.

Donc, nouvelle date en vue, le 30 juin. On est confiant, on loue notre appartement, on fait des boîtes, on trippe! Le 30 juin au soir, soir de ma fête de 25 ans, je n'ai plus d'appartement, pas plus de condo. Je dors dans la roulotte de mes parents.

Jusqu'au 5 octobre dernier, cette roulotte c'est devenu mon domicile. On était officiellement en camping forcé. Pas besoins de vous dire que je ne me faisais pas des guimauves à tous les soirs. Ça finit par perdre son charme…

Finalement, au bout de 4 mois de camping de luxe (mais du camping quand même...) on finit par emménager. Soulagement et joie? Oui mais teintés d'une saveur amère.

Amère parce qu'on a dû finalement faire la job des ouvriers pour pouvoir rentrer à cette date (entendre ici repeindre les murs, poser nous-mêmes les luminaires, changer des portes d'armoires qui ne sont pas les bonnes...2 fois de suite.)Pour le concept clé en main, on repassera.

Amère aussi parce que je me retrouve avec un promoteur qui ne respecte pas son contrat, qui ne veut pas dédommager comme c'est écrit qu'elle le ferait, un notaire qui se fout bien de ne pas faire respecter les contrats et d'un chum, qui malgré lui, a dû quitté pour l'Afrique pour des raisons professionnelles quelques jours à peine après notre déménagement (il y est encore d'ailleurs...).

Ne me méprenez pas, je suis heureuse et pour franchement dire, j'adore réellement mon nouveau chez moi. Cette expérience m'a fait comprendre à quel point ma famille et mes amis sont extraordinaires dans les moments difficiles et que mon couple est encore plus fort que je ne le croyais.

Mais de là à dire qu'il s'agit d'un des plus beaux moments de ma vie, pas vraiment!




Véronique

lundi 4 octobre 2010

MA FACE DANS INFOPRESSE

Yeah!!! Le dernier numéro de la revue Infopresse vient tout juste de sortir et j'ai enfin l'occasion de voir le résultat de mon entrevue que j'ai fait pour eux au mois de juillet dernier! 

Ok ok, je sais.

J'ai donc bien l'air de la fille qui se vante, qui s'aime trop ou qui se fait de l'auto-promotion. Mais en fait,  je suis juste tout simplement fière. Fière de voir que je sais où je m'en vais dans la vie mais surtout fière de voir que d'aimer mon travail ça me permet de bien le faire et de pouvoir le partager avec d'autres.

Voilà donc l'article en question. Comme je n'ai malheureusement pas encore l'url pour la version en ligne,  vous avez seulement droit à cette version scannée... Désolée! Au moins, ça fait en sorte que les scanners servent encore de nos jours! ;)


Ahh Oui! Pis un gros merci à Gina, ma collègue qui a m'a permis de réaliser cette belle expérience!

N'hésitez surtout pas à me faire part de vos commentaires

Véronique

lundi 27 septembre 2010

SEMAINE DE MODE 2.0




La 19e édition de la semaine de  mode de Montréal débute aujourd'hui et c'est avec un peu de dépit que je me retrouve coincée ici à Québec alors que j'aimerais tant être dans la métropole pour en profiter pleinement. Heureusement, grâce à plusieurs filles dédiées (et réellement passionnées!), j'arrive tout de même à en profiter à partir de chez nous.


Cette année, les bloggeuses à couvrir la semaine de mode de Montréal sont plus nombreuses que jamais. Les semaines de mode de partout dans le monde ont confirmé cette tendance, mais surtout la place de plus en plus indéniable que prennent les nouvelles technologies dans ces événements.

L'utilisation des médias sociaux par le public assistant aux diverses semaines de la mode a complètement changer la donne. D'un côté, cela permet aux pauvres petites filles (ce que je peux faire pitié...) comme moi «d'assister» à distance à ces événements tant désirés, mais ça va plus loin. Beaucoup plus loin.

Depuis toujours considérés comme des événements exclusifs et réservés à l'élite de la mode (lire ici les créateurs, les vedettes, les mannequins et les influents du monde de la mode), les dessous des semaines de la mode sont aujourd'hui révélés aux yeux de tous. Tout le monde peut maintenant voir et commenter en temps réel ce qui était autrefois (il n'y a vraiment pas si longtemps de ça en fait...) réservés aux plus chanceux d'entre nous.

Plutôt que de laisser le public prendre le contrôle, plusieurs marques ont réagi cette année en proposant leurs propres canaux de diffusion. Ainsi, Calvin Klein, Ports 1961, Alexander Wang et Michael Kors ont tous diffusés en direct leurs défilés lors de la semaine de  mode de New York alors que Gucci a poussé l'audace encore plus loin en offrant à ses adeptes de suivre ses défilés à partir de son application iPhone.

Lors de semaine de mode à Londres, Burberry a, de son côté, ne s'est pas contenté de diffusé ses contenus en direct, il a pris a à la conversation, littéralement. Comment? À l'aide de Twitter, tout simplement.

Animé par Christopher Bailey, le directeur artistique de la marque, le compte dévoilait en exclusivité à ses followers, les secrets des coulisses, des photos avant, pendant et après les défilés, des entrevues, etc. Mais le plus important, c'est que Burberry entrait en réel contact avec sa clientèle, prenait ses commentaires et répondait à ses questions.

Pour la plupart du monde qui gravite dans les médias sociaux depuis un moment déjà, il n'y a rien de bien extraordinaire à tout ça. Par contre, pour un monde aussi fermé et exclusif que la mode et la haute couture, il s'agit d'un pas considérable.

Alors pour ceux et celles comme moi qui sont prises dans une ville qui n'a toujours pas sa semaine de la mode, il y a encore de l'espoir. Et pour cette semaine, je vous propose de faire comme moi et de vous tenir au courant de ce qui va se passer à Montréal grâce au travail exceptionnel de ces filles qui nous font vivre ces événements à travers leurs écris!

Elle M la Mode
Blogue Mode de rue
Jeans & Stilletos
Les bachelières
Twik: Le blogue

Véronique

lundi 20 septembre 2010

J'AI FAIM DONC JE LIS

J'adore la cuisine. En fait, j'aime cuisiner mais j'adore surtout manger. Donc pas étonnant que je dévore (je sais, on a vu mieux comme jeu de mot...) littéralement tout ce qui s'y rattache. Émissions de cuisine, concours culinaires, livres et restos.


Récemment, j'ai terminé la lecture du livre Kitchen Confidential: Adventures in the Culinary Underbelly par Anthony Bourdain. C'est un pur D-É-L-I-C-E ! (Je suis décidemment dans ma thématique...)

Non sérieusement, j'ai réellement adoré. Si vous êtes du type à aimer la restauration, êtes intéressé à savoir comment ça se passe dans les cuisines de restaurant ou en quoi consiste le quotidien d'un cuisinier, vous allez surement aimer ça autant que moi.

Pour ceux qui n'auraient aucune idée de qui il s'agit, Anthony Bourdain est le chef exécutif de la brasserie Les Halles à New York et l'animateur de l'émission Anthony Bourdain: No reservation sur Travel Channel. Et pour ceux qui ont déjà vu son émission, vous connaissez le caractère particulier du bonhomme ainsi que son langage coloré. Son livre est tout à fait à cette image. Anecdotes, histoires particulièrement salaces, horreurs sur le monde de la restauration, bref c'est du bonbon.

Le livre date de 2000 mais on ne le croirait jamais. Un vrai petit bijou pour les adeptes de cuisine et de lecture. En espérant que vous l'apprécierez autant que moi!!

Bonne lecture

Véronique

mardi 14 septembre 2010

COTON OUATÉ MADE IN QUÉBEC

Il n'y a pas à dire, depuis 1 semaine et demie, l'automne est arrivé pour vrai. Autant on a eu un bel été, autant là on se gèle. On a envie de rester en pyjama toute la journée, à la condition même qu'on ait eu le courage de se lever le matin.

Bref c'est le moment de l'année où le style en prend un coup. 17h30, de retour du bureau, jeans, talons hauts et top à paillettes prennent le bord pour laisser place à ce que j'appellerais le summum du confort: mes cotons ouatés.

Depuis le milieu de l'été, je suis de retour chez mes parents. Un condo extrêmement en retard l'oblige... Et depuis, c'est un vrai retour à l'adolescence avec ma sœur. Le fléau que j'avais pourtant oublié, la fameuse phrase que je ne pensais plus entendre: J'temprunte ta veste, bonne soirée!

...hééé ok ?

Depuis le retour du temps froid, c'est surtout mes fameux ouatés qui y passent. J'ai donc pensé à une façon de régler (en partie) ce  problème. Ma sœur fête ses 20 ans pas plus tard que jeudi cette semaine. Mon cadeau? Une copie toute neuve (et à elle seule!) de cette veste sur laquelle elle bave depuis si longtemps.

Cette veste, je l'ai prise chez Blank, petite boutique située sur la rue Saint-Joseph, dans le quartier Saint-Roch à Québec. La particularité de cette place? Il s’agit d’une entreprise québécoise qui ne vend que des vêtements "gossés" au Québec! De la fabrication du tissu à sa teinture, de la coupe de ce dernier à sa couture, tout est fièrement fait au Québec.

Donc cet automne, faites comme moi (et bientôt ma soeur) et gardez-vous au chaud tout en encourageant l'économie locale.


Mon fidèle kit de coton ouaté (et LA veste) qui me gardent au chaud même sur
les rives d'un pacifique frette comme c'est pas possible!
 
Véronique

mercredi 8 septembre 2010

LA PREMIÈRE FOIS, ÇA FAIT SOUVENT MAL

Et c'est peut-être bien pour ça que j'ai pris autant de temps avant de le faire. Mais bon j'y suis finalement. Surtout depuis le temps que je le dis. Mon premier billet sur mon blogue. Non mais sérieusement, c'est comme si je reportais ce moment depuis des mois sans savoir pourquoi d'ailleurs. Pas que je manque de temps. Plutôt par peur de me planter je crois. D'avoir un blogue qui au final n'intéresse personne sauf moi.

Pourtant, je le sens. C'est au fond de moi, un espèce de feeling qui colle et ne me lâche pas vraiment. Le besoins d'écrire. Tout ce qui me passe par la tête, ce qui m'intéresse et surtout, tout ce que j'aimerais pouvoir dire au monde autour de moi, sans leur casser les oreilles avec mon blabla incessant.

Car, oui c'est vrai, je parle beaucoup. Vraiment beaucoup. C'est malgré moi, on dirait que j'ai toujours quelque chose à dire. Une vraie fatigante diraient certains (surtout mes parents...) J'irais plutôt pour passionnée.

Passionnée. Ça fait cliché. Pas besoins de me le dire, tout le monde est passionné de quelque chose, alors on repassera pour l'originalité. Reste tout de même que j'y crois.

La mode, par exemple. Un autre cliché on dira. Quelle fille n'aime pas la mode?
Mais bon, bye bye l'originalité une fois de plus. Anyway, je ne suis probablement pas la plus fashionnista que vous rencontrerez mais ça ne m'empêche pas de complètement capoter je là dessus. Et pour moi, c'est ce qui compte.

...

Bon, manque d'inspiration.

Tout comme je ne savais pas comment commencé mon premier billet, voilà que je me retrouve avec le syndrome de la page blanche pour le terminer. Cette foutue peur d'ennuyer le monde qui me lise je crois...

Avant de céder à la tentation et de tout effacer ce que je viens d'écrire, je me dépêche plutôt de terminer ça là, comme ça sans douleur. À la prochaine.

Véronique